M. et Mme D., présentation

Certains les ont déjà croisés ici ou encore ici. Petit à petit, j’ai pu récolter d’autres renseignements sur ce couple croisé un soir dans la rue. Ils portaient une vieille valise en carton, tenue fermée par une ficelle. L’homme portait aussi un gros sac, vous savez, ces immenses sacs rayés rouge et blanc, genre faux écossais sur fond blanc ? Ils avaient l’air épuisés. Avec mon doux monsieur, nous sortions d’une soirée au théâtre. Les voyant épuisés, nous avons voulu leur parler, leur proposer un peu d’aide. Mais ils ont fait signe que non, qu’il fallait partir. Ils parlaient une langue étrangère. Une voiture de police est passée. Ils étaient manifestement effrayés et ont reculé hors de la lumière du réverbère. Puis ils sont partis, très vite.

Nous les avions oubliés lorsque quelques temps plus tard, nous les avons de nouveau croisés dans les rues de notre ville. Depuis, nos chemins se croisent de temps à autres. D’où les quelques photos que j’ai pu récupérées. Nous avons un peu discuté aussi mais leur français est encore très aléatoire !

Avec leur accord, je mettrai sur ces pages, les différents éléments de leur histoire*.

 
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* Je tiens à rappeler toutefois que M. et Mme Doubrichnou sortent tout droit de notre imagination à mon monsieur et à moi-même… même si certains éléments de leur vie sont très proches de la réalité de beaucoup de gens débarquant sur le sol français en quête d’un espace où survivre.
 
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